Les œufs sales ou fêlés sont enlevés manuellement.
Les veaux têtent leurs mères, ils donnent des coups de museaux dans les pis pour faire descendre le lait dans les trayons.
À la naissance, le veau pèse en moyenne 40 kilos, il peut se mettre debout au bout d’une demi-heure.
Nolwenn est l’une des rares femmes en Côtes d’Armor à exercer le métier de maréchal-ferrant. Elle plante ici les clous dans le pied du cheval, cette opération s’appelle le brochage. Le fer est changé en fonction de son usure, environ tous les deux mois.
Il existe 4 types d’élevages de poules pondeuses : en cage, au sol, en plein air et en bio.
Les vaches sont en stabulation et peuvent se reposer à gauche dans leurs logettes.
Jacky tracte la désileuse pour nourrir les vaches.
La vache vêle naturellement mais les éleveurs accompagnent régulièrement le processus afin de veiller à son bon déroulement.
Dès sa naissance Jacky boucle le veau et le nomme «Jitane».
Jacky paille les logettes deux fois par jour. Les vaches sont alors maintenues par le cou grâce à un système autobloquant nommé le cornadis.
Chaque matin c’est la toilette ! Le cheval est brossé pour que sa peau soit propre avant la pose des harnais.
L’usage du débardage par traction animale s’inscrit dans une démarche environnementale. Viking tracte un tronc de chêne rouge sous l’oeil averti de Pierre-Yves.
Après chaque séance de travail, Alain rince les pieds et les sabots de ses chevaux pour s’assurer qu’ils ne se soient pas blessés.
À la naissance les porcelets ont une carence en fer d’où la nécessité de leur en injecter.
Benoît observe le comportement du verrat. Ce dernier va détecter les chaleurs des truies et ainsi indiquer le bon moment pour procéder à l’insémination artificielle.
Benoît caresse la mamelle de la truie pour qu’elle se retourne et les présente aux porcelets. La truie possède en moyenne 14 tétines. Une mise bas donne naissance à environ 14 porcelets. Chaque porcelet se nourrit à la même tétine jusqu’à son sevrage.
Les truies en maternité sont nourries manuellement afin d’adapter leur régime. La distribution de l’alimentation des autres cochons est automatisée.
Chaque vache est traite deux fois par jour et produit une trentaine de litres de lait quotidiennement.
Les poules resteront 52 semaines chez Didier. Chaque poule pond environ 320 œufs par an. Elles pondent dans les pondoirs, dans la pénombre à l’abri des regards.
Un code est imprimé sur chacun des œufs indiquant le type d’élevage, le pays, le code de l’éleveur, la date de ponte et la date de consommation recommandée.
Dès sa naissance, au couvoir, les mâles et femelles sont séparés. Le sexe est identifiable grâce à la forme du bout des ailes du poussin.
Un boîtier connecté à de nombreux capteurs indique la valeur d’indices du poulailler (température, ventilation, hygrométrie...).
À l’arrivée du lot de poussins, les céréales sont déposées dans des alvéoles. Ces dernières sont mises à proximité des mangeoires pour que les poussins s’y habituent progressivement.
Les poussins nécessitent beaucoup d’attention les jours suivants leur arrivée.